AU FAIS FINIIS TT

A PARS LES NEEWS DU ROI !!! peux etre l annee proch.POUISSSSSCHHHHHHHHHHWWHAAIYYYYRRRRRRE

mais encore mon Glaude ???? ton clavier s'est mis en court jus ou tu t'entraine à la boxe française....comme qui dirait la savate??????????

Naaan, mon Glaude écrit pas comme un pied.
Il écrit comme y pense.
Oui, c'est effectivement le problème...

pas de blem mon bon!!pas de blemmmmm courage courage fuyons ;;;;;;;;;;non LUTONSSSSS

pas le tt mais repris avec le contacts avec combatents du circuits pendans OULTON PARCK pas de bonne nles ,,?? mais ! n empeche que putain ca roule grave tjrs et que ca finiras pas commm ca PUTAIN CEST BON !!!!!!!! vive le trois roupettes !!! et a que les guzzzzzzzzzzzss nous facent tjrs bien rire...............!

Il y a quelques années, je discutais avec M'sieur Jacques Bolle, patron de la vittesse à la Fédé. On causait de sécurité en course et notamment des courses sur routes naturelles (cotes, TT...). Il a eu ce mot que je n'ai jamais oublié: "évidemment c"est dangereux, on fait tout ce qui est possible pour limiter le danger. Après, les pilotes le savent, et on a jamais forcé personne à y aller".
C'est en autres pour des phrases comme ça que je le respecte.
Personne n'est obligé de prendre un départ et à n'importe quel moment on peut lever la main et s'arrêter.
Et aussi dures et terribles que puissent être les conséquences d'une sortie en course, on ne sera jamais plus à plaindre qu'un maçon tombé d'un échafaudage merdique.
Lui, il perd sa vie ou sa santé à essayer de la gagner. Nous c'est juste un jeu. Parfois un jeu de con, mais rien qu'un jeu dont on connait les règles.
Have fun.

ouais .....complètement d'accord avec toi Pierre.....çà me rappelle un truc d'un de mes "maîtres" qui nous disait :" la vie ne vaut que placée sous le signe des 3 R.".....ça peut être les 3 R de 3 roues, mais lui pensait à Rêver, Rire et Risquer

oui oui bien d accord !! bien vue la regle de trois !!!!!! putain comme vous ecrivas bien! !!!!

Moi j'aime bien la philosophie sidecariste expliquée par Maïtre Bernard aux ignorants que nous sommes.